Le parc national des Écrins (PNE), la société de chasse du Monêtier, l’office national des forêts, les élus de la commune et la station de Serre Chevalier se sont associés pour assurer la quiétude de cet oiseau emblématique, discret et de plus en plus rare.
À Serre Chevalier, depuis quelques années, les rencontres avec le “petit coq” se raréfient dans ce coin de montagne, même si «on y trouve un habitat naturel très favorable à l’espèce » assure Jean-Pierre Bergeon, garde-moniteur du PNE.
C’est sur le versant nord-est de la montagne de Cibouit, haut lieu du ski hors-piste desservi par le télésiège du même nom, que la zone de quiétude sera créée dès cette année: des jalons, cordes et fanions permettront d’assurer conjointement le plaisir de la glisse des skieurs et la tranquillité des oiseaux. « Des zones de quiétude similaires, mises en œuvre notamment dans les Écrins, le Mercantour et le Queyras, ont d’ores et déjà apporté des résultats encourageants, avec un accroissement des populations d’oiseaux en quelques années seulement ».
Pour les partenaires qui étudient actuellement les éléments techniques et la faisabilité financière du projet, «la volonté d’associer le plus grand nombre à sa réalisation » fait l’unanimité, tout comme l’intérêt de le concrétiser.
Pour cela, une large communication et la sensibilisation, notamment des professionnels de la montagne, est importante afin que ce projet voie le jour et soit une réussite.
À Serre Chevalier, depuis quelques années, les rencontres avec le “petit coq” se raréfient dans ce coin de montagne, même si «on y trouve un habitat naturel très favorable à l’espèce » assure Jean-Pierre Bergeon, garde-moniteur du PNE.
C’est sur le versant nord-est de la montagne de Cibouit, haut lieu du ski hors-piste desservi par le télésiège du même nom, que la zone de quiétude sera créée dès cette année: des jalons, cordes et fanions permettront d’assurer conjointement le plaisir de la glisse des skieurs et la tranquillité des oiseaux. « Des zones de quiétude similaires, mises en œuvre notamment dans les Écrins, le Mercantour et le Queyras, ont d’ores et déjà apporté des résultats encourageants, avec un accroissement des populations d’oiseaux en quelques années seulement ».
Pour les partenaires qui étudient actuellement les éléments techniques et la faisabilité financière du projet, «la volonté d’associer le plus grand nombre à sa réalisation » fait l’unanimité, tout comme l’intérêt de le concrétiser.
Pour cela, une large communication et la sensibilisation, notamment des professionnels de la montagne, est importante afin que ce projet voie le jour et soit une réussite.
Source : Le Dauphiné Libéré - Hautes Alpes et Alpes de Haute provence - 26.02.2020